Nouveau rapport sur la vente d’enfants et l’adoption illégale publié par ECPAT, DCI et Terre des Hommes (disponible seulement en Anglais)
Découvrez le nouveau rapport co-publié, écrit par Nigel Cantwell (fondateur de DEI et consultant international sur la protection de l’enfance) couvrant l’étude réalisée par DEI dans le domaine de la vente d’enfants et de l’adoption illégale.
Les pratiques illicites en matière d’adoption d’enfants sont une préoccupation sérieuse depuis de nombreuses décennies, notamment – mais pas uniquement – en ce qui concerne les transferts d’enfants à l’étranger (adoption internationale). Les années 1980 ont vu une augmentation phénoménale d’allégations de faute professionnelle et une augmentation de prise de conscience que le cadre juridique et des droits humains pour l’adoption internationale était entièrement inadéquat pour empêcher les enfants d’être «légalement adoptés» à la suite d’illégalités à diverses étapes du processus d’adoption. Ces préoccupations ont notamment inspiré l’accent, dans les normes internationales, sur la protection des droits des enfants pour lesquels l’adoption internationale est envisagée ou déjà en cours.
En 2016, Maud de Boer Buquicchio, rapporteuse spéciale de l’ONU sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie infantile, a commandé un document de recherche sur les «adoptions illégales», tant nationales qu’internationales, pour informer le rapport thématique sur le sujet qu’elle présenta à la 34e session du Conseil des droits de l’homme en mars 2017. La présente publication est une version adaptée de ce document de recherche. Il se concentre principalement sur les adoptions internationales illégales. Il cherche en particulier à identifier les facteurs systémiques qui créent les conditions dans lesquelles les adoptions illégales peuvent prospérer et à proposer des réponses efficaces de la part de tous les acteurs, en accordant une attention particulière aux approches préventives.
